Image :
Image :
Prix :
41.50€
Nombre de pages :
640
Auteurs :
Jack Goody

La Culture des fleurs

Texte :

Du rejet puritain des fleurs dans le christianisme ancien, dans l’islam ou dans la Chine de Mao à leur symbolisme érotique qui traverse l’histoire des sociétés humaines, Jack Goody invite le lecteur à le suivre dans ses promenades, de la plus haute Antiquité à nos jours.

S’interrogeant sur le rôle effacé des fleurs en Afrique, décrivant l’invention des « paradis » et des jardins antiques, Goody observe le déclin de la culture des fleurs aux premiers siècles de l’ère chrétienne, puis le retour de la rose dans l’Europe médiévale et l’expansion des marchés après la Renaissance.

Né de la curiosité encyclopédique de l’auteur, ce livre, qui s’attache à déceler les innombrables significations attribuées aux fleurs, s’intéresse aux usages théologiques et profanes des fleurs autant qu’à leur valeur marchande. Jack Goody insiste aussi sur les relations qui existent partout entre l’écologie, l’idéologie, les usages esthétiques et symboliques des fleurs : rituels ou domestiques, funéraires ou amoureux, les bouquets s’inscrivent à la fois dans une archéologie de l’horticulture et dans une histoire de la consommation des biens de luxe.

Pratique liée à une esthétique de la vie quotidienne qui a suscité différents types de « langage des fleurs » à travers les siècles en Orient et en Occident, La Culture des fleurs appartient également à l’histoire économique, politique et religieuse de l’humanité.

Spécialiste des relations entre les cultures d’Occident et d’Orient, Jack Goody est professeur honoraire d’anthropologie sociale à l’université de Cambridge.Du rejet puritain des fleurs dans le christianisme ancien, dans l’islam ou dans la Chine de Mao à leur symbolisme érotique qui traverse l’histoire des sociétés humaines, Jack Goody invite le lecteur à le suivre dans ses promenades, de la plus haute Antiquité à nos jours.

S’interrogeant sur le rôle effacé des fleurs en Afrique, décrivant l’invention des « paradis » et des jardins antiques, Goody observe le déclin de la culture des fleurs aux premiers siècles de l’ère chrétienne, puis le retour de la rose dans l’Europe médiévale et l’expansion des marchés après la Renaissance.

Né de la curiosité encyclopédique de l’auteur, ce livre, qui s’attache à déceler les innombrables significations attribuées aux fleurs, s’intéresse aux usages théologiques et profanes des fleurs autant qu’à leur valeur marchande. Jack Goody insiste aussi sur les relations qui existent partout entre l’écologie, l’idéologie, les usages esthétiques et symboliques des fleurs : rituels ou domestiques, funéraires ou amoureux, les bouquets s’inscrivent à la fois dans une archéologie de l’horticulture et dans une histoire de la consommation des biens de luxe.

Pratique liée à une esthétique de la vie quotidienne qui a suscité différents types de « langage des fleurs » à travers les siècles en Orient et en Occident, La Culture des fleurs appartient également à l’histoire économique, politique et religieuse de l’humanité.

Spécialiste des relations entre les cultures d’Occident et d’Orient, Jack Goody est professeur honoraire d’anthropologie sociale à l’université de Cambridge.

Prix :
41.50€
Nombre de pages :
640